Leçon
de poésie colorée
Atlas
Magazine, on y va rien que pour les yeux. Ce site
est réellement superbe. Et puis, sous réserve de pratiquer
la langue de Shakespeare, vous pourrez alors vous délecter des
superbes écrits d’Atlas
Magazine comme les aventures de Mister Guy ou
les aventures de Dieux en couleurs ! Mais si vous préférez
la langue de Molière, Atlas Magazine saura aussi vous contenter
les yeux. Sur le site se mélangent photographes et graphistes de
talent.
C’est
plein de couleurs un peu flashy, de petits bonshommes transparents au
regard malicieux, d’oiseaux. Ce site est à lui seul une échappatoire
à toute la griserie ambiante qui mériterait d’être
récompensé et donné en exemples à tous les
développeurs qui ne pensent qu’il n’y a que le noir, le blanc et
le rouge sur le web.
Graphic
jam
Allez,
avouez : quand vous étiez à la maternelle, votre truc
c’était d’aller dessiner sur les dessins des autres ! Y’a
prescription maintenant, vous pouvez le dire. Et puis c’est si facile
d’aller crayonner celui du voisin, plus beau que le sien, quand le sien
est moche à faire peur ! Et si vous recommenciez, mais en
toute discrétion, s’agit pas de vous incruster dans la première
école maternelle venue. Sur le web, ça au moins c’est discret !
Ca
vous tente, rendez vous sur Graphic
Jam. Ici point de maîtresse, juste un tableau
et quelques outils de dessin et une palette. Allez-y, un autre dessine
déjà : qu’importe ! Tout le jeu est là.
Chaque dessinateur est anonyme et le résultat parfois assez déroutant.
Pourtant, aux petites heures de la nuit, quand l’aube grise vient caresser
les toits, on tombe sur de réels artistes (et insomniaque aussi)
et ça mérite le coup d’œil. Mais c’est à ne pas rater
car, sauf à faire une capture d’écran, les œuvres sont virtuelles
et on ne peut plus éphémères : en deux clics
le tableau est effacé !
C’est
l’histoire d’une fille qui aime les filles
La
lesbienne aime la merguez. Non ceci n’est pas
une question, une affirmation Plutôt et aussi le titre d’un site.
Pour la petite histoire, Merguez c’est le surnom de la webmestre. A priori
un sacrée surfeuse devant le dieu web et qui n’a de cesse d’alimenter
son site de nouvelles adresse et de nouvelles rubriques.
Certes,
si vous êtes homophobes tendance Boutin et que c’est par un youpi
de joie que vous avez salué votre passage sous le portillon électronique
chargé de décompter les participants de la manifestation
anti-pacs, mieux vaut éviter d’aller voir Merguez.
Par
contre si vous êtes vous-même lesbienne ou homo ou tout simplement
si vous vous intéressez à ce qui peut se passer dans ce
petit monde bien plus discret que celui des homosexuels homme, la Merguez
mérite votre visite. Il y a même un petit questionnaire assez
sympathique, histoire de tester vos connaissances et dont le code source
mérite aussi un coup d’œil.
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